Alors que le terme « vert » est devenu très à la mode en ce qui concerne la construction et la conception de maison, ce qu’il signifie exactement n’est pas toujours clair. Il y a quelques normes pour les maisons écologiques, mais le terme « vert » ne dispose pas d’une définition universelle au-delà d’une couleur obtenue en mélangeant le jaune et le bleu. Alors, comment un consommateur sait quand un constructeur de maison « vert » construit effectivement avec un intérêt écologique, ou au moins suffisant pour justifier son prix ?
Quelles sont les bases d’une maison « Verte » ?
Certaines des normes pour les maisons d’esprit écologique comprennent une isolation accrue. Pour être vraiment économe en énergie, une maison doit être isolée au-delà des exigences minimales locales. Cela comprend l’isolation du plancher, qui dans certains cas est construit dans la fondation en béton. Outre les murs, les planchers et les plafonds, les fenêtres doivent également être isolantes. Par conséquent, le double vitrage devient la norme « vert ».
L’efficacité énergétique doit être poursuivie dans toute la maison. Le faible consommation d’eau des toilettes est un must, et ceux qui ont différentes options de chasse sont extra éco-conscients. Les pommes de douche, les machines à laver, les robinets et les lave-vaisselle peuvent également être équipés pour limiter l’eau utilisée. Les climatiseurs, les réfrigérateurs, les appareils de chauffage et tous les autres appareils au sein de la maison doivent être du plus haut niveau d’efficacité énergétique. En outre, des lampes fluorescentes compactes doivent être utilisées dans toute la maison, ou remplacées par des lampes LED.
Au-delà de l’efficacité énergétique, l’utilisation de matériaux non-toxiques, ou (au moins) moins toxique, est important dans les maisons « vertes ». Une maison « verte » aura des peintures à faible teneur en COV. COV signifie « composés organiques volatils ».
Un autre détail de finition qui est populaire pour les maisons écologiques est le plancher en bambou ou en liège. Le bambou est populaire parce qu’il grandit très rapidement. Il faut environ cinq ans pour faire pousser du bambou à la bonne taille pour faire un plancher. Il est polyvalent et existe dans une variété de styles et de couleurs. Le liège est une autre option, car il est durable à la récolte : enlever le liège ne va pas endommager l’arbre, car il régénère son écorce de liège chaque année de toute façon. Le liège fait une belle surface qui est aussi naturellement plus chaude que de nombreuses autres options de revêtement de sol.
Pour un examen intérieur final, les maisons écologiques vont utiliser des tissus plus naturels comme la laine et le coton pour les tapis et les habillages de fenêtre.
L’extérieur de la maison compte aussi
L’extérieur de la maison laisse aussi beaucoup de place pour des considérations « vertes ». Le xéropaysagisme est un moyen populaire d’aménager le jardin en utilisant des plantes indigènes de la région. Ces plantes sont naturellement résistantes à la sécheresse, car elles sont acclimatées à l’environnement local, elles nécessitent moins d’arrosage et d’entretien que les pelouses ou les lits de fleurs étrangères.
Une autre tendance « verte » en plein air pour la maison est l’utilisation de pavés perméables. Ceux-ci absorbent effectivement l’eau, qui est ensuite filtrée naturellement à travers la terre et remonte dans l’approvisionnement de l’eau souterraine. Ceux-ci évitent le ruissellement toxique qui peut être causé par l’eau se précipitant sur le ciment et dans les égouts, transportant du pétrole et des résidus d’échappement directement dans le système de drainage, et qui va terminer sa course à proximité de l’eau.