Les événements de la bourse et la crise économique ont renforcé l’immobilier dans son implication de valeur refuge. Mais investir dans l’immobilier est également un formidable moyen de se constituer un patrimoine presque sans fonds propre.

Acheter à crédit

L’acquisition à crédit reste intéressant malgré le raffermissement des prêts. Vous avez saisi, acheter à crédit est la meilleure issue. D’ailleurs aujourd’hui, les taux sont encore très engageants puisqu’en janvier 2012, il était possible d’emprunter à taux fixe à partir de 3,75 % (hors assurance) sur 15 ans.

Fiabiliser votre investissement.

Sécurisez votre investissement, empruntez c’est bien… à condition de percevoir des loyers pour rembourser ses échéances ! Malgré toutes les aubaines, l’investissement immobilier n’est, en effet, pas affranchi de risques, le principal étant la vacance locative. Pour réduire les risques, il convient de suivre quelques règles de sagesse, applicables à un premier achat comme aux suivants. Tout d’abord, il faut connaître le marché locatif. C’est, semble-t-il, pour cette raison que beaucoup d’investisseurs préfèrent désormais acquérir un bien à proximité de leur lieu de résidence. Reste ensuite à choisir l’emplacement au sein de la commune. Enfin, mieux vaut mettre sur le marché un logement en excellent état. Car il ne faut pas s’illusionner, lorsqu’un bien est en mauvais état, on ne reçoit que de mauvais dossiers. Et qui dit mauvais dossier dit risque accru d’impayés. Un écueil qu’il est facile d’éviter en sélectionnant soigneusement son locataire et en souscrivant une assurance loyers impayés. Cette assurance, vivement recommandée pour un premier  ou bien un deuxième investissement locatif, pourra devenir facultative lorsque votre patrimoine se sera étoffé ; vous serez alors en mesure de dispatcher les risques. Pour un premier achat, privilégiez l’ancien avec des travaux, et une petite surface. Une stratégie compatible avec le budget généralement modeste dont dispose les primo-investisseurs.